En ouverture, et non pour conclure ...

Une vidéo sur le volontariat à Palerme, vous verrez ce que mes colloc', amis, et moi- même avons fait pendant notre volontariat ! et puis vous verrez un bout de Palerme =)

 

Merci à tous et à toutes de m'avoir suivi pendant ces 9 mois, de m'avoir soutenue, envoyé des messages, des nouvelles. Votre présence, même si lointaine, m'a été indispensable.

Marion et Cloé : du soleil tout l'été!

Altofonte, au loin Palermo.

Au Black Market de Ballarò

Au marché de Ballarò, ils sont frais leurs poissons

Eglise de la Martorana, Palerme

CEFALU

Du haut de la Rocca, un vieux château en ruine, des remparts et un paysage féerique

Plantant des cerisiers

Lisa à Palerme aussi ;)

                             

Visitant le Théâtre Massimo, la chance de voir une répétition de ballerines...

En parlant de ballerine et de théâtre ... au JARDIN BOTANIQUE :)!

Au simple toucher délicat du doigt la fleur, timide, se replie sur elle même ...

Clarisse, Anu, Mariel, Léa

A Mondello

Gibellina, un lieu étrange et poétique

Petit explicatif de ce site complètement improbable et comme tombé de nulle part. 

Un cheveux sur la soupe dit-on comme on dit.

Gibellina est un lieu très particulier: un musée à ciel ouvert, un exemple unique en Italie d’art environnemental, un espace où architectes, sculpteurs et peintres ont expérimenté un avant-poste du "moderne"..
Le 15 janvier 1968 un violent tremblement de terre toucha la zone du Bélice. Gibellina, centre agricole d’origine médiévale, fut complètement détruite. Il ne restait rien d’autre à faire que tout reconstruire. 
La ville est née sur l’idée d’une ville-jardin, faite de grandes rues et de vastes espaces, au plan elliptique et centrifuge. En son sein, épars un peu partout, il y a des exemples d’art et d’architecture moderne: le Système des Places de Thermes et Purini, le Contrepoint et les Séquences de Melotti, le Labyrinthe de Franchina, le Monument aux morts de Uncini, la Sculpture de Rotella et bien d’autres encore.
Le plus célèbre de tous est le gigantesque Cretto projeté par Alberto Burri: afin que le temps n’efface pas le souvenir de ce qui a été, une coulée de ciment blanc, dont les fentes correspondent au tracé des rues de l’ancienne Gibellina, a immortalisé le passé.Le projet a souffert de la faible considération de la culture et des habitudes de la population, risquant de transformer Gibellina en une ville à l’atmosphère surréaliste.(http://www.trapaniwelcome.it/localita-Gibellina-fr.html)

Quand nous sommes arrivés dans la ville en voiture, je me suis sentie arriver dans une ville du Texas du temps des cowboys et des Indiens. Désertique, le soleil tapait fort, les quelques personnes que nous croisions dans les rues nous regardaient comme des êtres étranges et étrangers venus effleurer leur sol. De temps en temps on voyait surgir des formes d'art surréalistes et modernes en bois, béton, roues de bicyclette, pierre, ou autres matériaux. Un exemple d'effet Bilbao qui n'a cependant pas su prendre son envol ...

Le cimetière de Gibellina

Dans la ville.

L'église de Gibellina